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    Les gens passent, s'attendent, se retrouvent, se redécouvrent, s'enlacent. Chacun est dans l'impatience de la retrouvaille. Je vois ici des personnes de tous genres, jetant des regards furtif à leur montre ou leur portable. Nous nous trouvons sur le lieu sacré du rendez-vous, la fontaine émet son jaillissement éternel.
    Nous sommes sur la place Saint Michel.

        
    Mes yeux sont attirés par une femme, elle doit avoir autour de 45 ans, elle est grande brune au cheveux court, elle est vêtu d'une longue jupe noir et d'un haut blanc. Elle essaie de garder son sourire derrière une anxiété évidente, ses grand yeux marron sont partout elle tourne, sa jupe suit le mouvement. Qui attend elle ? Un homme, une femme, de la famille, un ami ? Elle tourne en sens inverse et ses yeux qui allaient rapidement à droite puis à gauche se stoppent tout d'un coup, l'anxiété disparaît, alors le sourire prend toute sa beauté et son visage s'illumine. Elle se met a courir, bouscule les gens, plus rien lui importe elle atteint la personne attendu lui saute dans les bras et l'embrasse.

         J'entend un rire, je tourne ma tête, il y a à cette endroit deux fille et un garçon qui parlent, plaisantent, évoquent des souvenir. Ils ont environ 20 ans et leur excitation est clairement apparente plus le temps passe plus ils parle vite, passe du coq a l'âne, et hausse la voix. Sur la rue d'en face débarque quatre autres jeunes : deux filles et deux garçons ils portent d'énormes sacs a dos. L'un des quatre désigne du doigt la masse de personne sur la place. Les quatre accélèrent le pas à la rencontre des trois premiers. Les deux groupes entre en contact. Des cris retentissent chacun se prend dans les bras tout le monde parle, personne ne s'écoute, ils ont tant à se dire.

        
    Une personne me frôle. Il s'agit d'un  homme très classieux il doit avoir une trentaine d'années. Il fait des tours, marche, traverse la foule. A des moments il s'arête et tourne sur lui-même il se met sur la pointe des pieds et fronce les yeux. Il relève sans cesse sa manche pour regarder l'heure. Il se remet a piétiner et va s'asseoir au bord de la fontaine. Apparemment cette endroit ne lui convient pas, il se lève et traverse a nouveau la place bousculant les gens sur son passage. Il traverse la rue mais ne revient pas, je le suis du regard s'enfuir dans une allée voisine lorsqu'une autre personne crie son prénom du bord de la place. Il se retourne et cavale a la rencontre de celle dont il pensait qu'elle l'avait oublier

         Un parfum derrière moi me fais réagir, je me retourne brusquement, ses yeux croisent les miens.  « Je t'attendais ».


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             Il est aller au delà des obstacles pour assouvir sa passion. Découvert dans le Mouv' avec l'Idéal et Soirée Mouveuse, Roberwan est sur la pente ascendante de la scène française.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>   Sachez d'abord qu'au mot musique il enchaîne avec Vitale. Et cela parait compréhensible car pianiste depuis l'age de 6 ans, c'est à ce même âge que son esprit commence à composé.
    Et il y a un an et demi la guitare parait pour lui comme : « une alternative évidente pour sa mobilité » c'est ainsi qu'il se met à créer avec sa guitare.<o:p> </o:p>

        Par des hymnes à la joie, il donne l'envie de vivre et procure a ses auditeurs sourire et nostalgie. Avec des texte toujours pleins de vérité il prône, et le revendique,  « l'Amour ! avec un grand " A " ! ». Sur des styles éclectiques mais restant dans un domaine plutôt pop/rock il nous fait partager son dynamisme et son originalité.<o:p> </o:p>

         Depuis peu en studio Roberwan commence a enregistrer des maquettes. Vous pouvez en écouter des extraits sur le site : roberwan.musicblog.fr. Après des déception et des soulagement lors de son séjour en studio Roberwan garde la tête haute ne compte s'arrêter là.
    En route pour la futur création de son album il a besoin de nos encouragement à tous.

    Emouvus et autre amateur de musique de qualité faite une ovation au nouveaux « auteur-compositeur-interprète-musicien » Roberwan!!!!

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  • Entre
    Ce que je pense
    Ce que je veux dire
    Ce que je crois dire
    Ce que je dis
    Ce que vous avez envie d'entendre
    Ce que vous croyez entendre
    Ce que vous entendez
    Ce que vous avez envie de comprendre
    Ce que vous croyez comprendre
    Et ce que vous comprenez

    Il y a dix possibilités que l'on ait des difficultés à communiquer.
    Mais essayons quand même...





    Tableau d'Isabelle Cardinal


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  • N&D


        
    Si ce symbole éveil en vous la paix et l'amour, le Peace & Love vous n'avez pas tord, du moins si vous restez dans le contexte actuel, car a l'origine ce sigle a été créer pour la lutte antinucléaire.
    En 1958 il apparaît en Angleterre lors d'une manif' contre une usine de bombe atomique. Puis le symbole traverse l'océan pacifique dans les bagage d'un proche de Martin Luther King. Il arrive donc aux Etats-Unis où étrangement cette croix va montrer le bout de son nez a des manifestations qui n'ont plus rien avoir avec le nucléaire : Les marches des noirs américains qui réclame leurs droits civiques puis des manifestations d'opposants à la guerre du Vietnam.


    Et c'est ainsi qu'il commence à devenir le SYMBOLE UNIVERSEL DE LA PAIX.
    Pourtant la lutte pour le « désarmement nucléaire » est toujours présente dans se symbole pour qui sait le lire. C'est le graphiste britannique Gérard Holtom qui l'a conçu est s'inspirant de l'alphabet sémaphore (utilisé dans la marine). En l'occurrence, ce symbole est composé de deux lettres superposées :   Le N et le D pour, 
    Nuclear Disarmament


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  •                     « J'ai une folle envie de croiser ton regard, parce que je sais que ça me ferait mal. Et je suis comme tous les êtres qui souffrent, j'aimerais souffrir d'avantage encore.
    Oui, parce que quand on n'a très mal, on a cette impression que si on a encore plus mal on va enfin arriver au bout de sa douleur. »

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p> 
       Cette extrait de monologue illustre parfaitement ce que l'on peut ressentir en cas de déchirement intérieur.  Mais il ne faut jamais faire sortir de son esprit qu'il est impossible d'aller au bout d'un mal par une douleur que l'on s'inflige. Il faut sortir de cette boucle infernal, prendre ce qui reste de force pour passer outre les chocs, pour passer au dessus des problèmes.

    Et si l'on n'est épuiser, qu'il n'y a plus d'énergie alors allez la chercher autre part demandez de la force. Les gens, inconnu comme proches sont là pour partager leurs énergies.<o:p> </o:p>Il faut continuez à vivre quelque soit les étapes. Il faut s'en souvenirs pour éviter l'erreur et  il faut s'en servir pour devenir plus fort

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